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Street Art et droit d’auteur au Canada

Bonjour à tous,

caJe reviens vous proposer une séquence vidéo enregistrée aujourd’hui. Me Franchi (Barreau de Montréal), Jean Goulet (professeur de droit des biens) et moi-même avons échangé sur la question des relations entre droit d’auteur et Street Art au Canada.

La séquence dure 15 minutes, et cette fois-ci, plus de problème technique de son, la qualité sera parfaitement utilisable.

Je remercie mille fois ces deux juristes de se prêter au jeu de mes petites séquences, et nous espérons tous trois que ces contenus vous plairont. Nous reviendrons vous parler d’autres sujets relatifs au droit canadien.

 

Street art et droit d’auteur au Canada from Joëlle Verbrugge on Vimeo.

N’hésitez pas à faire tourner partout, pour toucher également les photographes canadiens, particulièrement concernés.

Voici également le lien vers l’une des affaires dont parle Jean GOULET dans la vidéo (l’utilisation d’un graffiti par un parti politique québecois). C’est PAR ICI.

A très bientôt

Joëlle Verbrugge

5 commentaires sur cet article

  1. Bonsoir Joêlle
    Après le street art, pourriez-vous concevoir une “capsule “sur les questions que peut poser la prise de photographies dans des lieux insolites et interdits (l’urbex) ? Merci ! Chrystèle

    1. Bonjour Chrystèle,
      Le sujet t’intéresse pour le Canada également ? Les capsules vidéo sont en priorité destinées au droit comparé.. mais si c’est bien l’aspect canadien qui t’intéresse, je peux soumettre l’idée à mes deux comparses… 🙂

  2. Bonjour Joêlle
    Merci pour cette mise en ligne de cette vidéo.
    Certains appareils possèdent la reconnaissance du visage, du sourire, etc. à quand un appareil avec une reconnaissance automatique du droit à photographier?
    Encore merci pour cette énorme travail de collectage.
    Amitiés
    Serge
    https://www.flickr.com/photos/119524765@N06/
    j’ai comme l’impression que je vais bientôt me retrouver en taule avec mes photos.!

    1. La bonne nouvelle, c’est que les prisons sont surpeuplées, il faut une contrefaçon de plus grande ampleur pour s’y retrouver… mais il y a aussi les actions civiles..
      C’est, par contre, la raison pour laquelle je ne diffuse pas, ne vends pas et n’expose pas les photos de graffitis que je prends pour mon plaisir.. 😉

  3. Bonjour Joëlle,
    Qu’en est-il pour la photographie d’un graffiti moitié effacé qui a totalement disparu depuis ?

    Merci pour cette vidéo fort instructive!

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